>> Toutes les rubriques <<
· Topos randonnée (108)
· Souvenirs (bons ou mauvais) (60)
· Topos ski de randonnée (42)
· Avis (7)
ceux qui veulent de la bonne cocaïne c'est en martinique qu'il faut aller. la cocaïne est moins chère en marti
Par G.B.H, le 08.09.2025
ceux qui veulent de la bonne cocaïne c'est en martinique qu'il faut aller. la cocaïne est moins chère en marti
Par G.B.H, le 08.09.2025
ceux qui veulent de la bonne cocaïne c'est en martinique qu'il faut aller. la cocaïne est moins chère en marti
Par G.B.H, le 08.09.2025
07.45.75.58.71 livraison beuh shite ile de france & alentour
• weed •
•blue magic sativa
• purple haze ind
Par 07.45.75.58.71what, le 19.12.2022
top! de beaux souvenirs qui resteront inoubliables. amitiés http://rochsna ke.centerblog. net
Par rochsnake, le 26.09.2022
· La traversée Tenneverge - Ruan
· Mes 12 semaines de préparation au Marathon de Paris
· Mon premier triathlon : Time Triathlon de l'Alpe d'Huez
· Ancilevienne 2017 : une superbe course à essayer !
· Le Grand Bargy (Couloir des Ranges)
· La traversée du Roc des Boeufs
· Le Grenier de Commune
· Ancilevienne 2018
· Les Pointes d'Ayères (par le passage du Dérochoir)
· Retrouver la motivation pour courir pendant le confinement
· La Guivre du Mont Buet
· La Haute Cîme (par l'arête des Lacs)
· Les Dents de Lanfon (Traversée des arêtes).
· Le Môle depuis Ayse
· Le Refuge Chabloz par le sentier Justin
Date de création : 21.10.2014
Dernière mise à jour :
25.09.2022
218 articles
" Si la vie humaine n'a pas de prix, nous agissons toujours comme si quelque chose dépassait, en valeur, la vie humaine "
Antoine de Saint-Exupéry.
Le Salève, c'est pour moi la petite récréation de la semaine. Plusieurs raisons font de cette montagne un lieu idéal de crapahutage : altitude faible, proximité, ou encore variété des itinéraires.
En ce début décembre 2013, la neige n'est pas encore au rendez-vous. Du moins pas en quantités suffisantes pour espérer sortir les ski de randonnées. Le Salève est donc tout indiqué pour profiter des dernières journées d'Automne.
Habituellement, je parcours les sentiers du Massif du Coin (Etiollets, Bütikofer, Etournelles...) mais au cours des dernières semaines, j'avais commencé à m'intéresser aux autres sentiers du Salève. La semaine précédente, j'avais notamment visité la Via Ferrata Jacques Revaclier. Après des recherches rapides sur Internet, je choisis une boucle qui permet de parcourir la Grande Gorge Intérieure et les Vires du Sarrot Saut-Gonet (proposée sur le site transpiree.ch).
J'avais déjà longuement étudié le cheminement, notamment par le biais des photos du descriptif. Etant certain de bien connaître le parcours, je n'ai pas jugé utile d'imprimer le topo (ce qui aura plus tard de facheuses conséquences). Je rentre tout de même la trace proposée sur le site dans mon GPS rando.
Départ brumeux.
En ce mercredi de décembre, je quitte donc le boulot aux environs de midi pour me retrouver une heure plus tard au parking des tennis du Coin. Cela me laisse environ cinq heures de temps pour réaliser la boucle. Avec le recul, ce simple fait exposé suffit pour prendre la mesure de ma bêtise ce jour-là. Mais nous reviendrons là-dessus en conclusion du présent article.
Depuis le parking j'ai une excellente vue sur le Cirque des Etiollets, mon terrain de jeu habituel. Le Cirque est soupoudré d'une fine couche de neige que le soleil réchauffe. Mon itinéraire est lui invisible, masqué derrière l'angle de la Face Ouest du Coin. La perspective de devoir naviguer sur des vires enneigées me laisse perplexe mais l'envie de découvrir ce secteur, le plus sauvage du Salève, est plus forte. Après m'être préparé, je redescends donc le long de la route qui longe les tennis pour récupérer le sentier géologique.
Dès l'entrée dans la forêt, le brouillard apparaît. Au parking des tennis, j'étais quelques mètres au-dessus mais qu'à cela ne tienne, je serai bien au-dessus d'ici quelques minutes. Le sentier est magnifique dans cette ambiance hivernale. Tout est gelé et sans vie. Je ne tarde pas à atteindre un carrefour où je m'engage sur le sentier de la Grande Gorge.
Je remonte le sentier assez raide pendant environ dix minutes à la recherche du départ de l'itinéraire de la Grande Gorge Intérieure. Cet itinéraire, extrêmement sauvage, est sans doute le sentier originel de la Grande Gorge. Le topo indiquait un marquage sur un arbre juste avant un grand virage à gauche. Attentif, je trouve la bifurcation du premier coup.
Je m'engage sur une vague trace en ascendance pour émerger de la végétation au milieu d'un pierrier. En face de moi, je peux admirer le Rocher de la Poupée, superbe aiguille jaillisant vers le ciel. Je dois trouver un couloir qui remonte à la base du Rocher mais auparavant, je décide de remonter le pierrier pour visiter la Grotte Julliard. Je ne tarde pas à arriver en haut de la gorge, où un sombre dévaloir est totalement verglacé. La grotte doit se trouver à gauche de ce dévaloir mais les pentes herbeuses sont raides. En regardant le sol, je remarque beaucoup de branches cassées et des rochers clairs de tailles diverses. Goûtant peu la perspective de me recevoir un parpain sur la tête, je décide de redescendre vers le couloir pour poursuivre mon itinéraire.
La base du couloir est facile à trouver malgré la neige qui recouvre le balisage. Sa remontée le sera moins, le rocher étant verglacé par endroit. A l'instant où j'arrive en haut du couloir, un bruit sourd me fait sursauter. Il vient des parois en face, au-dessus de la Grande Gorge. Ce bruit est étrange, cela ne ressemble pas à la chute d'un rocher. Alors que je parcours les parois du regard, un deuxième craquement se fait entendre. J'ai alors tout le loisir d'observer la chute d'un enorme bloc de glace qui vient s'écraser dans la forêt en contrebas. Ce petit spectacle peu rassurant me laisse un instant interrogé...avant de reprendre ma route comme si de rien n'était.
La boite de Pandore.
Derrière le Rocher de la Poupée, le topo indiquait de suivre les marques rouges et les cairns. C'est à partir de ce moment que je commence à perdre le fil du topo. Les images et les instructions se mélangent dans ma tête. Il me semble que le topo indiquait de contourner une paroi par la droite. J'arrive en effet devant une paroi et une sente s'engage à droite. Après plusieurs minutes, la trace devient de plus en plus raide. Je peux deviner des barres rocheuses quelques mètres plus bas. Il s'agit de toute évidence d'une sente à chamois. Je reviens donc vers la paroi pour remarquer une marque rouge à gauche de celle-ci. La mémoire me revient : "contourner par la gauche pour atteindre le Moulin de l'Isère".
Ce Moulin de l'Isère est une petite vire qui surplombe la gorge de la Grotte Julliard. Peu après, j'atteint un ressaut. Le topo parlait de rochers faciles, en pas de II tout au plus. La glace et la neige en rendent l'escalade difficile. Je dois m'aider des herbes, branches et racines que je trouve ça et là pour franchir le ressaut. Ce ressaut c'est ma Boite de Pandore. Je sais qu'il sera très difficile de le desescalader. A partir de maintenant, la sortie ne peut se faire que par le haut.
Dans la Grande Gorge Intérieure, le danger n'est pas toujours visible. Si le sentier serpente au milieu des barres rocheuses, ces dernières n'en sont pas moins masquées par la végétation. On se sent donc relativement en sécurité. Le sol est pourtant fait d'un amas glissant de graviers et de terre qui rend la progression dangereuse.
A la suite du ressaut, je visite un peu la région, m'égarant sur de nouvelles traces de chamois, retrouvant le balisage un peu plus loin, pour finalement franchir un second ressaut et atteindre un promontoir. La vue est magnifique. Une mer de nuage immense s'etend à mes pieds, alors que plus haut, le soleil illumine timidement le sommet des parois.
Derrière le promontoir, je remonte une petite crête boisée avant de venir buter sur une paroi. Je me rappelle qu'il s'agit du passage clé de la Grande Gorge Intérieure. Il faut longer la paroi vers la gauche, remonter un couloir très raide et redescendre vers un dévaloir pour sortir de la Grande Gorge Intérieure.
Je longe donc la paroi pour me trouver sous le couloir. Ce dernier est en fait un dévaloir au mileu duquel coule , en temps habituel, un ruisseau. Ce dernier est aujourd'hui totalement gélé. Depuis la vire, je peux voir la petite selle herbeuse qui me permettra de redescendre derrière le dévaloir. Mais comment l'atteindre ?
Sous moi, le dévaloir plonge 15 mètres plus bas vers la forêt. Le terrain n'est pas totalement vertical mais une chute ici serait dramatique. Je reste de longue minute sur ma petite vire. Y aller ou ne pas y aller ? Redescendre tout le chemin parcouru serait long et dangereux. Mais monter c'est jouer une partie de dés. Espérer ne pas glisser.
J'empoigne une touffe d'herbe et décide de grimper. Le pied gauche en appui sur une aspérité, je cherche de la main une prise. Tout est gelé, rien ne tient. Les rochers me restent tous dans les mains, les uns après les autres. Finalement je trouve une prise qui semble vouloir tenir. Après une longue attente, je transfert enfin mon poids sur mon pied gauche...la prise a tenu, le pied n'a pas glissé, je suis dans le couloir. Lors de mon retour sur ce lieu au printemps 2014, j'ai été incapable de forcer à nouveau ce passage. Ma compagne remarquera alors une marque rouge peu avant la vire. L'accès au couloir, par une simple sente...
La remontée du couloir est fastidieuse. Je glisse plusieurs fois avant de finalement atteindre la selle. De là, je dois redescendre vers le Trou du Chat, une petite arche naturelle. Derrière cette arche, une paroi de quelques mètres est équipée d'une corde fixe...mais totalement prise par la neige et la glace. Alors que j'empoigne la corde, je perds pied sur la glace vive et vient cogner violemment contre la paroi. Le choc arrache la corde fixe à sa gaine de glace...au moins un point positif !
Derrière, il me faut remonter une autre petite paroi, haute de 10 mètres environ : le Pas du Singe. Une chaîne et des tiges de fer aident à gravir l'obstacle mais là encore, tout est verglacé. Après une pénible et pathétique escalade, je dois encore remonter une gorge pour atteindre un rocher avec un inscription peinte en rouge.
Ce rocher aurait pu et dû être ma porte de sortie...à condition de connaître le topo. On peut en effet, comme indiqué sur le rocher, rejoindre la Grande Gorge en suivant une sente à gauche. Cet échappatoire permet d’éviter ainsi la traversée des vires du Sarrot. Ignorant ce fait, je m’engage donc à droite, vers le Sarrot.
Peur et vertige sur le Sarrot.
Pour rejoindre les vires du Sarrot, on doit remonter péniblement en direction des parois dans un terrain tout ce qu’il y a de plus malcommode. J’atteints finalement la base des parois pour me trouver sur une vire assez confortable mais qui va en se rétrécissant. A mesure que la vire rétrécit, le terrain devient de plus en plus pentu. Je peux deviner sous moi les immenses parois de la Tour du Sarrot. Un vieil ami profite de l’occasion pour se rappeler à mon bon souvenir : le vertige. Je tremble comme une feuille à mesure que j’avance sur la vire. La sensation de vertige est vraiment très désagréable dans la mesure où elle est difficilement maîtrisable. A force de parcourir les sentiers des Etiollets et des Bütikofer, je pensais pourtant avoir vaincu ce mal pour de bon.
Alors que la vire se rétrécit encore, j’aperçois une chaîne qui équipe un passage exposé. La paroi s’abaisse et l’on doit se courber en s’aidant de la chaîne pour passer. Alors que je me dirige vers celle-ci, un craquement sourd me fait instinctivement lever la tête. Des blocs de glace gigantesques, partis du haut des parois, dévalent à l’emplacement de la chaîne. Le bruit du métal sur la roche et le fracas des blocs en contrebas des parois raisonnent un bon moment dans ma tête. Quelques secondes d’avance et j’étais mort !
A ce moment là, la peur et le stress, ajoutés à la fatigue, m’ont déjà retourné l’esprit. Je n’ai plus qu’une idée fixe : sortir de cet enfer ! Regardant vers le haut si la chute des blocs ne réserve pas un remake, je fonce vers la chaîne et franchit le passage en quelques secondes.
Les vires du Sarrot permettent une traverser de la Grande Gorge vers le Lamin en franchissant successivement quatre gorges. Ces gorges canalisent les eaux du sommet, si bien que ce jour-là, la vire se trouve à des endroits totalement recouverte de glace. Je ne marche plus sur la vire, je cours. L’adrénaline pompe à tout va mais je reste suffisamment lucide et prudent lorsque le passage est dangereux. Peu avant le Pilier de la Cathédrale, je rejoins l’angle d’une paroi. Plus loin la vire me semble devenir trop étroite et disparaître dans le vide. Je reviens donc en arrière et trouve une marque rouge à hauteur d’épaule sur la paroi. Pour moi pas de doute il faut grimper pour trouver une autre vire plus haut. Après une escalade difficile et ridicule, me voilà à peine trois mètres au-dessus de ma position initiale. Des surplombs au-dessus de moi, un mur lisse à droite et à gauche. Pas de doute, encore une fois c’est l’erreur. Je redescends donc et poursuit sur la vire. Cette dernière continue et ne disparaît pas comme j’avais cru le voir.
A l’angle du Pilier de la Cathédrale, la vire devient vraiment spectaculaire. Le vide est omniprésent et le terrain fait de petits graviers glissants recouverts de neige. A ce moment, je n’ai plus clairement conscience du beau ou du remarquable dans ce décor pourtant magnifique. Je veux simplement sortir d’ici et vite !
La dernière rampe.
Une inscription sur un rocher me redonne un peu espoir : « Lamin ». Le Lamin est une grande paroi que l’on peut rejoindre par le passage du Saut Gonet. Ce petit pas très exposé était le but de ma journée. A ce moment précis, j’ai déjà tiré un trait dessus. Hors de question de continuer sur ces vires dangereuses, d’autant que le Saut Gonet est bien plus exposé au vide que les vires du Sarrot. Je me souviens que peu avant la fin des vires du Sarrot, on traverse une dernière gorge, celle de l’Evorse. Les photos du topo qui me reviennent en mémoire sont celles d’une gorge arborée, bien loin des lieux austères dans lesquels j’évolue depuis de longues heures. Une sortie par le haut de la gorge doit être possible.
Je ne tarde pas à atteindre la gorge en question. Le sentier poursuit à niveau pour rejoindre le haut des parois du Lamin. Plus bas, la gorge descend pour rejoindre le Saut Gonet. Dans les deux cas, le passage est trop dangereux pour moi. Je suis épuisé moralement et physiquement. Je n’ai pas mangé à midi (vous avez dit stupide ?) et je commence à ressentir les effets du froid. Je décide de regarder mon GPS pour savoir si une sortie par le haut est possible. Les courbes de niveau sont assez espacées, il ne semble pas y avoir de barres rocheuses. Un sentier apparaît soudain sur le GPS. C’est celui de la Corraterie. Ce sentier facile parcours le haut des falaises du plateau sommital. Le rejoindre c’est gagner la partie. Le GPS indique 150 mètres en distance à vol d’oiseau et environ autant en dénivelé.
La remontée de cette gorge me semble interminable. A chaque pas je m’enfonce dans une épaisse couche de neige. Mais cette neige est salvatrice. Elle m’aide à tenir debout sans efforts sur cette pente raide.
Il fait de plus en plus sombre. Quelle heure est-il au fait ? J’ai perdu toute notion du temps. Je m’arrête pour fouiller dans mon sac. Mon portable ! Je l’ai oublié...Je me sens soudain encore plus éloigné du monde des vivants. Mais le plateau est là à quelques mètres. Je peux déjà voir le soleil illuminer la cime des arbres. Encore quelques efforts et j’émerge sur le sentier de la Corraterie. Ce dernier, totalement piétiné, est dur comme de la glace. Je m’effondre dans la neige, à la fois soulagé et totalement anéanti. Je suis tiré d’affaire et j’en pleurerais presque.
Que faire maintenant ? Par où descendre ? Le sentier d’Orjobet ? C’est sans doute la solution la plus rapide mais dans mon état, je préfère éviter de passer dans la grotte. Mais si elle est équipée de mains courantes, elle doit être totalement verglacée. Je décide donc de rejoindre la route de la Croisette. La descente sera longue mais sans danger. Et peut-être pourrais-je faire du stop.
Le plateau sommital est fidèle à lui-même : rempli de bipèdes. Les nombreuses personnes qui se baladent en cette fin d’après-midi doivent se demander si je ne suis pas saoul. Maintenant que je me sais tiré d’affaire, l’adrénaline redescend. Je me sens soudain extrêmement faible. Incapable de tenir debout, je trébuche et tombe à plusieurs reprises. Après une longue descente, j’atteints enfin la route. Une voiture passe à ce moment-là. Deux suissesses venues se balader sur le plateau. Elle acceptent de me ramener au parking du Coin. Elles me demandent d’où je viens. J’affirme laconiquement m’être : « fais un peu peur dans la Grande Gorge ». Elles rigolent et me mettent en garde : « La Grande Gorge c’est glissant l’hiver ». Oh si seulement vous saviez madame...Lorsque j'arrive à ma voiture il est 16h45. Contact, chauffage à donf et retour au bercail.
Voici donc le récit de cette journée qui aurait pu très mal tourner. J’ai conscience d’avoir de la chance d’être encore vivant. J’ai juré à mes proches et me suis juré à moi-même de ne jamais retourner sur cet itinéraire...pour retourner le faire en intégralité à peine six mois plus tard ! Mais je veux croire que l’on peut tirer du bon de chaque expérience, même la plus mauvaise.
Ce jour-là plusieurs éléments m’ont conduit à l’échec :
-Je n’avais pas mangé avant de partir en randonnée.
-J’avais oublié mon téléphone portable.
-Personne ne savait où j’allais et personne ne savait que j’allais en montagne ce jour-là.
- Partir à 13 heures en hiver sur un itinéraire inconnu ne laisse pas assez de temps en cas de problème.
-Je n’avais pas de topo précis.
-Je n’ai pas su évaluer les conditions de terrain dès le parking. La présence de neige visible aurait dû m’interdire de démarrer ma randonnée.
- Je n'ai pas réussi à lire correctement le terrain une fois sur place.
-Je n’avais pas de matériel ad hoc (piolet, crampons, corde).
-Je n’ai pas su reculer lorsque cela était encore possible après la première chute de blocs de glace et le passage du premier ressaut.